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L'obligation de subir nous donne le Droit de Savoir.

Jean Rostand

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Chers amis, chers lecteurs

Merci de votre compréhension....

 

 

11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 07:11

 

14 18

 

 

14-18-copie-1

 

 

1916

 

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 14:00

1933 

C'est à dire, il y a juste 80 ans !

 

cliquez ici 1

Comme aujourd'hui, on y trouve traité, pêle-mêle, les sujets les plus sérieux mêlés aux plus légers..

La politique, la religion, l'économie, la vie chère, le vote du budget, la crise et le trou de 6 milliards de déficit budgétaire... en première page bien sûr

cliquez ici 2

La politique étrangère, le désarmement...

Le réarmement d'une Allemagne belliqueuse qui aura pour effet, s'il se produit, un blocage économique du pays

organisé par les Etats-Unis, la Grande Bretagne et la France...

 

cliquez ici 3

La loterie nationale... Ah ! les jeux et l'aviation... encore des records !

cliquez ici 4

Et puis un détournement de bons de rente au Ministère des Finances et les faits divers, une femme tuée de 2 balles, des intoxications, des crimes, de l'espionnage, des retraités pas contents...

 

cliquez ici 5

Le salon de l'automobile, le suicide d'un octogénaire, une rixe, une voleuse, un déraillement, une grève des parents d'élèves...

cliquez ici 6

Une tempête, des incendies, une intoxication à la crème, l'enterrement d'un grand officier de la légion d'honneur dont personne ne se rappelle le nom... Ah vanité humaine !!

cliquez ici 7

Et enfin la seule seule chose dont on n'entend plus parler maintenant :

l'inauguration des usines Citroën, des discours et un banquet de 6 500 personnes !

Quand même ! Fichtre, à l'époque on n'y regardait pas !

Bref, entre les malheurs individuels, les catastrophes, les jeux et le sport, les grands bouleversements et la guerre qui se préparait...

le 12 octobre 1933, le monde n'était pas plus idyllique qu'aujourd'hui.

Le temps suit son cours...

 

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6 octobre 2013 7 06 /10 /octobre /2013 03:49

 pressoir2

 

Ecoute le cri des vendanges
Qui monte du pressoir voisin ;
Vois les sentiers rocheux des granges
Rougis par le sang du raisin.

Regarde au pied du toit qui croule :
Voilà, près du figuier séché,
Le cep vivace qui s’enroule
A l’angle du mur ébréché.

Autrefois, ses pampres sans nombre
S’entrelaçaient autour du puits ;
Père et mère goûtaient son ombre ;
Enfants, oiseaux, rongeaient ses fruits.

Il grimpait jusqu’à la fenêtre ;
Il s’arrondissait en arceau ;
Il semble encor nous reconnaître
Comme un chien gardien d’un berceau,

Sur cette mousse des allées
Où rougit son pampre vermeil,
Un bouquet de feuilles gelées
Nous abrite encor du soleil.


Alphonse de Lamartine

Les Recueillements poétiques, 1839

vendanges

raisin mûr 2

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 03:06

 

ecolier pt-17 

Pendant que tu étais
Sur la plage, cet été,
Ou bien dans la forêt,
As tu imaginé
Que ton cartable rêvait ?


Il rêvait d'avaler
Des crayons, des cahiers,
Puis d'aller comme on vole,
Sur le chemin de l'école.


Carl NORAC

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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 06:51

Avez-vous repéré votre maison ? 


Et pouvez-vous dire

en quelle année à été prise cette photo ?

 

Cliquez ici

 

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16 août 2013 5 16 /08 /août /2013 17:50

 

Dans le Bien Public d'aujourd'hui, un article qui fait chaud au coeur...

 

Cliquez ici

 

et n'oubliez pas d'aller vous ressourcer sur le blog de :

JVMC

 

jardins0017

 

 

« Si tu veux être heureux une heure, bois un verre ;
Si tu veux être heureux un jour, marie-toi ;
Si tu veux être heureux toute ta vie,fais-toi jardinier.»
Proverbe chinois

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 23:13

 

Cliquez ici : Un article du Bien Public

Comment rester insensible devant la colère des habitants du quartier de la Rente Logerot, devant leur exaspération, leur fatigue provoquée par l'implantation cette année d'une entreprise dont il était facile de prévoir les nuisances sonores qu'elle allait provoquer ?

Et si encore cette entreprise respectait la réglementation en vigueur ? Non, car c'est jour et nuit que les camions frigorifiques  arrivent pour charger des denrées périssables qu'il faut bien conserver grâce à des installations elles aussi bruyantes !

Imaginez-vous, par cette chaleur essayer de dormir les fenêtres fermées ?

C'est pourtant le lot de ces habitants à qui Monsieur le Maire a proposé un rendez-vous "deuxième semaine d'août".

Monsieur le Maire, depuis le début de son mandat,  souhaite développer ce quartier puisqu'il a accordé l'implantation de 12 pavillons privés à l'extrémité de l'impasse Logerot et celle de 70 logements locatifs, rue Eiffel, juste en face de l'entreprise concernée dont le siège social est au 3, rue Eiffel.

Mais ces habitants, présents et futurs, ont le droit comme tous ceux de la commune de vivre dans un environnement de qualité.

Aussi, personne ne comprend pourquoi Monsieur le Maire a également autorisé l'implantation d'une entreprise bruyante au milieu de ce quartier... qui souffrait déjà du passage des camions de livraison qui desservent les entreprises des zones économiques et commerciales cap sud et acti-sud...

Ces diverses décisions sont illogiques, incohérentes ! Pour le moins, un manque de réflexion et d'anticipation sont à déplorer, ce qui est dommageable à ce niveau de responsabilité.


Vous trouverez ci-dessous le courrier que "Tous Unis pour Marsannay" a fait parvenir à Monsieur le Maire avec copie à monsieur le Préfet.

 

 

                                                       Marsannay-la-Côte, le 25 juillet 2013

Madame TISSERANDOT Jeannine  

Monsieur VEZOLE Jean-Claude

Conseillers municipaux

«Tous unis pour Marsannay, les Forces de Progrès»

 

                                               à

 

                                               Monsieur Jean-François GONDELLIER

                                               Maire de Marsannay-la-Côte

                                               Mairie de Marsannay-la-Côte

                                               21160 Marsannay-la-Côte

 

Objet : nuisances sonores

Copie à : Monsieur le Préfet de Côte d’Or

              Groupement de riverains

                

Monsieur le Maire,

 

Nous avons été informés de l’installation de l’entreprise STEF au 3, rue Eiffel à Marsannay-la Côte par un bref communiqué de trois lignes énoncé par vous-même lors du Conseil municipal du 25 mars 2013. Comme d’habitude nous avons donc été mis devant un fait accompli, trop tard pour anticiper les conséquences de cette implantation proche des habitations.

Dernièrement, nous avons été alertés par les riverains de la Rente Logerot des nuisances sonores qu’ils subissent depuis la mise en service de la plate-forme frigorifique de la STEF à proximité de leur domicile. Le problème n’est pas ponctuel, ni personnel, puisqu’une cinquantaine de personnes a signé une pétition.

Ces riverains ne se sont pas installés dans une zone commerciale et industrielle, puisque la plupart des habitations étaient construites lorsque cette zone a été créée. Vous-même avez signé le permis de construire des 12 pavillons privés « la Plume ».

Par ailleurs, il est notoire que l’entreprise ne respecte pas les textes en vigueur : arrêté préfectoral du 16 juin 1999, arrêté municipal du 26 mars 2003. En semaine, le bruit généré par les installations frigorifiques de l’entreprise et des camions qui se succèdent est donc constant de jour comme de nuit.

Vous ne rencontrerez les représentants des riverains concernés que mi-août, alors que les nuisances continuent et sont très difficilement supportables actuellement puisque, malgré la canicule actuelle, les riverains ne peuvent ouvrir leurs fenêtres.

Nous rappelons également qu’à l’automne ORVITIS doit lancer la construction de soixante-dix logements sociaux rue Eiffel, en face de cette entreprise.

Nous vous demandons de prendre toutes les dispositions indispensables au bien-être des habitants présents et futurs de cette zone et, dans un premier temps de faire respecter par l’entreprise la législation en vigueur.

Nous vous remercions de bien vouloir nous informer de la suite que vous comptez donner à ce dossier.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de nos sentiments distingués.

Jeannine TISSERANDOT                          Jean-Claude VEZOLE           

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 10:01

 

DSC01268 

Célébration du 14 juillet dans la forêt.


Qu'il est joyeux aujourd'hui
Le chêne aux rameaux sans nombre,
Mystérieux point d'appui
De toute la forêt sombre !

Comme quand nous triomphons,
Il frémit, l'arbre civique ;
Il répand à plis profonds
Sa grande ombre magnifique.

D'où lui vient cette gaieté ?
D'où vient qu'il vibre et se dresse,
Et semble faire à l'été
Une plus fière caresse ?

C'est le quatorze juillet.
À pareil jour, sur la terre
La liberté s'éveillait
Et riait dans le tonnerre.

Peuple, à pareil jour râlait
Le passé, ce noir pirate ;
Paris prenait au collet
La Bastille scélérate.

À pareil jour, un décret
Chassait la nuit de la France,
Et l'infini s'éclairait
Du côté de l'espérance.

Tous les ans, à pareil jour,
Le chêne au Dieu qui nous crée
Envoie un frisson d'amour,
Et rit à l'aube sacrée.

Il se souvient, tout joyeux,
Comme on lui prenait ses branches !
L'âme humaine dans les cieux,
Fière, ouvrait ses ailes blanches.

Car le vieux chêne est gaulois :
Il hait la nuit et le cloître ;
Il ne sait pas d'autres lois
Que d'être grand et de croître.

Il est grec, il est romain ;
Sa cime monte, âpre et noire,
Au-dessus du genre humain
Dans une lueur de gloire.

Sa feuille, chère aux soldats,
Va, sans peur et sans reproche,
Du front d'Epaminondas
À l'uniforme de Hoche.

Il est le vieillard des bois ;
Il a, richesse de l'âge,
Dans sa racine Autrefois,
Et Demain dans son feuillage.

Les rayons, les vents, les eaux,
Tremblent dans toutes ses fibres ;
Comme il a besoin d'oiseaux,
Il aime les peuples libres.

C'est son jour. Il est content.
C'est l'immense anniversaire.
Paris était haletant.
La lumière était sincère.

Au loin roulait le tambour...?
Jour béni ! jour populaire,
Où l'on vit un chant d'amour
Sortir d'un cri de colère !

Il tressaille, aux vents bercé,
Colosse où dans l'ombre austère
L'avenir et le passé
Mêlent leur double mystère.

Les éclipses, s'il en est,
Ce vieux naïf les ignore.
Il sait que tout ce qui naît,
L'oeuf muet, le vent sonore,

Le nid rempli de bonheur,
La fleur sortant des décombres,
Est la parole d'honneur
Que Dieu donne aux vivants sombres.

Il sait, calme et souriant,
Sérénité formidable !
Qu'un peuple est un orient,
Et que l'astre est imperdable.

Il me salue en passant,
L'arbre auguste et centenaire ;
Et dans le bois innocent
Qui chante et que je vénère,

Étalant mille couleurs,
Autour du chêne superbe
Toutes les petites fleurs
Font leur toilette dans l'herbe.

L'aurore aux pavots dormants
Verse sa coupe enchantée ;
Le lys met ses diamants ;
La rose est décolletée.

Aux chenilles de velours
Le jasmin tend ses aiguières ;
L'arum conte ses amours,
Et la garance ses guerres.

Le moineau-franc, gai, taquin,
Dans le houx qui se pavoise,
D'un refrain républicain
Orne sa chanson grivoise.

L'ajonc rit près du chemin ;
Tous les buissons des ravines
Ont leur bouquet à la main ;
L'air est plein de voix divines.

Et ce doux monde charmant,
Heureux sous le ciel prospère,
Épanoui, dit gaiement :
C'est la fête du grand-père.



Victor Hugo.

 

DSC01262

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 14:12

 

  bus pt-10

Il est vrai que les personnes âgées qui demeurent dans le quartier Maxime Guillot/Bazin ou au vieux bourg à Chenôve, étaient obligées de parcourir un long trajet pour rejoindre un transport en commun.....

 

Un collectif de personnes privées, de conseillers municipaux ou de personnalités issues du monde associatif du sud dijonnais (Chenôve, Marsannay...) a rencontré le Conseiller Délégué du Grand Dijon, André Gervais pour lui expliquer les problèmes rencontrés par les utilisateurs de transport en commun des villes concernées.

Celui-ci a pris note de diverses propositions plus ou moins intéressantes pour notre commune et les a présentées aux 4 élus concernés du Grand Dijon. 

(Les maires de Dijon, de Chenôve, de Marsannay et de Perrigny).

Ceux-ci n'ont retenu que la proposition d'utiliser la navette mise à disposition des salariés de Kéolis Dijon pour leurs prises de services et relèves.

L'itinéraire de cette navette qui effectuait auparavant un circuit entre les deux dépôts (rue de Longvic et les Ateliers) sera adapté pour mieux desservir les quartiers de Chenôve un peu délaissés et mener les usagers aux arrêts du tram T2, d'où ils pourront regagner facilement le centre ville de Dijon.

Ce nouveau service sera proposé dès le 15 juillet 2013.


tram2

Bravo pour Chenôve ! Mais pour Marsannay ?

Apparemment, Monsieur le Maire est satisfait de la desserte de sa commune.

En effet, on peut lire sur un rapport de présentation que l'offre "est satisfaisante (cadencement, fréquence, position des arrêts)".

Rigueur budgétaire oblige, le Grand Dijon n'acceptera que les solutions qui pourraient s'effectuer avec les moyens déjà existants.....

Pour obtenir une amélioration des dessertes sur Marsannay et Perrigny, il faudrait donc avoir le poids d'un maire représentant les citoyens de sa commune, un peu d'obstination et la volonté d'expliquer et de convaincre le Grand Dijon.

Malheureusement, ce ne sont pas de simples conseillers d'opposition qui seront entendus..

Je vous laisse conclure...

 

  en bleu, le trajet de la navette de Chenôve

 

Attention, le trajet des lignes 14 et 15 (le long de l'avenue jean Jaurès et Roland Carraz) est également indiqué par des pointillés bleus...

 


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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 11:28

théatre 4

Est la devise bien connue de la compagnie DIABOLO qui, une fois de plus, samedi soir, a procuré au plus grand nombre, puisque le spectacle est donné gratuitement, un moment d'oubli d'une vie quotidienne bien morose en ce moment...

  maman

Quel plaisir de retrouver dans "Maman, y'a papa qui bouge encore..." une pièce endiablée de René Bruneau, interprétée par des bénévoles qui au fil du temps, sous la direction de Christian Dallière, ont rejoint le niveau des professionnels.

... Ce qui fait, chaque année, le charme de cette soirée si attendue par les pataras ?

C'est la communion entre la troupe et son public, c'est l'ambiance convivale et bon enfant, c'est ce don de soi, cette liberté des acteurs qui se donnent à fond et qui on le sent bien, forment une équipe soudée avec leur metteur en scène et leurs techniciens,  bénévoles eux aussi.


théatre 2.13

François Costantino (Félix) et Bruno Dhorne (Fred) , deux "amis" plus qu'intimes.


  "Aller à l'idéal et comprendre le réel" comme disait jean Rostand.


Même s'il finit toujours bien, le vaudeville colle à la vie.

Il surfe sur les problèmes de société, ceux de la politique, de l'argent roi, des rapports humains, il les tourne en dérision, les dédramatise, les désacralise.


Il ne connait qu'une finalité et c'est celle du coeur.

 

Il dit la vie, pas forcément, celle de la société " Bon Chic, bon Genre", comme celle tant prisée de nos jours dans certains milieux de notre commune.

Il va au-delà. Tout simplement, il parle de rapports humains simples, il réconcilie l'homme avec lui-même.

Tout simplement... et cela fait du bien à chacun d'entre nous.

 

théatre 5de gauche à droite : Priscilla costantino (Clémentine), Marie Isabel Costantino (Denise Lesecq), Christian Dallière (Le jeune puis, le pompier), Eric Delineau (Mado).

 

Soares

Mais comment fait-elle ? Marie-Laure Soares (Donatienne)

pour habiter son rôle avec une telle énergie physique et mentale ?

Et n'oublions pas, cachée dans la salle, Christiane Dallière, la voix "OFF"

 

Chapeau bas devant la compagnie Diabolo

pour toutes ces années de complicité...

 

2008 : Nos artistes ont du talent...

2009 : Vol avec effraction....
2010 : Compagnie Diabolo... Ainsi soit-il...

2011 : Vous dites Diabolo ?

2012 : " A tantôt..."


 

 

 

 

 



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