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L'obligation de subir nous donne le Droit de Savoir.

Jean Rostand

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Chers amis, chers lecteurs

Merci de votre compréhension....

 

 

26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 08:30

L’INSEE a défini, pour 2010 en France, un salaire moyen de 1580 euros par mois soit 18 990 euros/an.

Mais ce chiffre n’est pas représentatif de la réalité car il dépend de variables telles que le temps partiel, les congés…

C’est pourquoi on considère le salaire médian qui prend mieux en compte les extrêmes… Toujours d’après l’INSEE, 10 % des français gagnent moins de 877 euros/ mois tandis que les 10 % les plus riches ont quant à eux au moins 2 962 euros/mois de salaire.


Salaire Médian : Salaire tel que la moitié des salariés de la population considérée gagne moins et l'autre moitié gagne plus. Il se différencie du salaire moyen qui est la moyenne de l'ensemble des salaires de la population considérée.


Un autre élément nous permet de mieux de mieux appréhender la situation de nos concitoyens, c’est le taux de pauvreté qui est définit à 60 % du niveau de vie médian des français.

 Il s’élève à 950 euros par mois et concerne 13 % de la population de notre pays.

Un tiers de ces personnes vivent en foyer monoparental. Ce sont souvent les mères qui se retrouvent seules avec leurs enfants, mais il peut s’agir du père… Et bien sûr, les problèmes liés à la garde des enfants accentuent leurs difficultés.

Le nombre de personnes pauvres de plus de soixante ans augmente de façon non négligeable. Cette hausse est partiellement due à la progression du nombre de personnes âgées qui restent seules ...

Minimum vieillesse : 709 euros mensuels en 2011 pour une personne seule.


Mais la crise présente depuis 2008 a surtout touché les plus jeunes (moins de 30 ans) et pour eux le niveau de pauvreté est beaucoup plus élevé. Et, compte tenu de la hausse du chômage, il est très probable que le nombre de jeunes, vivant sous le seuil de pauvreté, va encore progresser.


  pauvreté 11

 source : INSEE

pauvreté12

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 07:46

 

amour2 

Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes.
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez

Qu'ingénument je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez...

 

Ah non ! Excusez-moi... C'était...

Alphonse Allais dans

Complainte Amoureuse...

 

Bon, tout le monde peut se tromper....

Pas vrai ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 08:33

gateau

 

Dors mon cœur, mon petit ange, dors…

En attendant que les doigts d’ombre de la nuit ne parviennent à fermer tes jolis yeux, je vais te conter une histoire…

Il était une fois, une dizaine d’enfants turbulents et envieux qui avaient des parents déjà âgés, Pierre et Pierrette.

Ces derniers avaient beaucoup d’ambition pour leur progéniture et faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour les aider, et les préparer à prendre un jour leur place dans le grand monde.

Hélas ! Ces enfants indisciplinés étaient difficiles à guider… Ils ne voulaient pas travailler, pensaient qu’ils avaient la science infuse, refusaient d'apprendre leurs leçons sous prétexte que c’était trop difficile et qu'elles contenaient plein de choses qui ne leur serviraient pas, préféraient s’égailler à gauche et à droite plutôt qu’étudier et écouter les conseils plein d’expérience et de bon sens de leurs parents….

Dors mon cœur, mon petit ange, dors…

Les parents inquiets pour leur avenir,  imaginèrent alors de leur faire un cadeau dont ils pensaient qu’ils leur en seraient reconnaissants.

Ils allaient cuisiner le meilleur gâteau du monde, ils y incluraient la poudre magique de perlimpinpin,  celle qui fait mûrir les enfants et leur fait comprendre que les parents ne sont pas là pour les contrarier ou leur prendre leur liberté, mais pour les conduire sereinement vers un avenir meilleur que celui qu’eux-même vivaient actuellement.

Aussitôt dit, aussitôt fait… pendant des jours et de jours, ils restèrent dans leur cuisine, analysant, goûtant, méditant, négociant… et enfin le gâteau fût prêt, le plus beau, le meilleur des gâteaux … Un seul problème subsistait : il était trop petit, il n’y avait que 5 parts !!!

Que faire ? se dirent les parents tout fiers d’avoir mené leur idée à son terme… On va leur donner ces 5 parts et on en fera un énorme pour tous, y compris pour leur petits camarades invités à partager.

Dors mon cœur, mon petit ange, dors…

Hélas, trois fois hélas !!!

Pierre et Pierrette offrirent le gâteau en précisant bien qu’ils étaient en train d’en préparer un immense pour que chacun puisse se rassasier à volonté, qu’il était presque prêt, mais qu'ils avaient décidé de donner les 5 premières parts aux enfants qui leur paraissaient les plus à même de guider les autres.

Lorsqu’ils virent le gâteau, les enfants se précipitèrent et voulurent tous avoir leur part. Les grands surtout, ceux qui auraient dû être les plus sages se rebiffèrent. Ils n’osaient revendiquer la part de leur frères et sœurs mais hurlaient qu’ils voulaient que ce gâteau  soit découpé en 6 , 7….

Ce qui était impossible, le gâteau étant trop petit !.

Et puis, ils ambitionnaient les premières places pour être les premiers servis…

Ils criaient, de plus, que c’était à eux de choisir les noms des 5 premiers servis et non aux parents…  Sans vouloir comprendre que sans les parents, il n’y aurait jamais eu de gâteau…

Bref, ils finirent par insulter Pierette, qui, excédée, horrifiée par tant d’ingratitude, décida qu’elle ne ferait plus de gâteau et qu’il fallait qu’ils apprennent à vivre seuls et à prendre leurs responsabilités…

Mon cœur, mon petit ange, tu dors ?  chut !!!……

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 22:01

"Il est grand temps de faire une pause, de troquer cette vie morose                        contre le parfum d'une rose..." Tryo 1998

 

"L'injure est l'argument de ceux qui n'ont rien à dire"                                             Boileau          

"Toute opinion est indifférente aux ambitieux, pourvu qu'ils gouvernent"                             Bernardin de Saint Pierre" 1737-1814

"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux"                                                Etienne de la Boétie 1530 - 1563

"Si je différe de toi, loin de te léser, je t'augmente"                                                   Antoine de Saint-Exupéry

"Une société n'est forte que lorsqu'elle met la vérité sous la grande lumière du soleil."
Emile Zola

« un homme ne se mêlant pas de politique mérite de passer non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile. » Thucydide

" Ne pas prévoir, c'est déjà gémir" Léonard de Vinci

" C'est en croyant aux roses qu'on les fait éclore"  Anatole France

« Faites-moi de bonnes politiques, je vous ferai de bonnes finances. »    Baron Louis

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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 11:41

gygnes

 

 

Un nouveau train de déchets étrangers va traverser la France. Un castor (conteneur) de combustible usé italien partira le 6 février 2011 d’Italie, passera la frontière lundi 7 à 07:06 et poursuivra sa route jusqu’à La Hague. Il arrivera le 8 à Valognes, les derniers kilomètres se faisant en camion. 

 Ce train passera à 22h34 - 23h08 à Perrigny-Gevrey, Côte d’Or.....

 


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7 février 2011 1 07 /02 /février /2011 09:00

pigeon2

Les deux pigeons

Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre :

L'un d'eux, s'ennuyant du logis,
Fut assez fou pour entreprendre

Un voyage en lointain pays.
L'autre lui dit : « Qu'allez-vous faire ?

Voulez-vous quitter votre frère ?
L'absence est le plus grand des maux :
Non pas pour vous, cruel ! Au moins, que les travaux,
Les dangers, les soins du voyage,
Changent un peu votre courage.
Encor, si la saison s'avançait davantage !
Attendez les zéphyrs. Qui vous presse ? un corbeau
Tout à l'heure annonçait malheur à quelque oiseau.
Je ne songerai plus que rencontre funeste,
Que faucons …………………

La Fontaine

FAUCON


A lire :
Une solution écologique alternative, à l'installation de faucons dans le clocher de l'église :
le pigeonnier contraceptif...

Nos anciens savaient bien comment réguler les colonies de ces volatiles... et construisaient partout des colombiers ou pigeonniers pour joindre l'utile à l'agréable....

Lire ici......


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22 janvier 2011 6 22 /01 /janvier /2011 22:59

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rue bourg

 

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  noel2

 

.......................

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 23:23

 

Merci, monsieur Hessel de savoir encore vous indigner, merci d'avoir un coeur et une conscience alors que votre âge vous permettrait d'aspirer au repos. Merci de le dire, de porter cela comme un idéal, comme un drapeau.

Oui, le monde ne changera que lorsque nous aurons tous ouvert les yeux, que nous saurons regarder avec notre coeur  et nous indigner sans nous cacher derrière les convenances, l'avis du voisin, quand ce ne sont pas nos egos ou nos intérêts...

Cet article me permet d'exprimer également mon admiration à un vieux monsieur de Marsannay, monsieur Roger Guillet,qui n'a pas les mêmes opinions politiques que moi mais qui a su garder un coeur et une âme d'adolescent, qui sait lui aussi s'indigner... se lever et combattre l'égoïsme, la cupidité, le laisser aller, et l'injustice.

 

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 22:44

 

rose2

 

 

Meilleurs vœux pour 2011

 

 

Les Elus de la liste

 

« Changements et Progrès pour Marsannay » 

Jeannine TISSERANDOT

Guy BAILLY

Claude SIRANDRE

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 09:46

 

sale

balai

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Inventaire à la Prévert

Une pierre
deux maisons
trois ruines
quatre fossoyeurs
un jardin
des fleurs

un raton laveur

une douzaine d'huîtres un citron un pain
un rayon de soleil
une lame de fond
six musiciens
une porte avec son paillasson
un monsieur décoré de la légion d'honneur

un autre raton laveur

un sculpteur qui sculpte des Napoléon
la fleur qu'on appelle souci
deux amoureux sur un grand lit
un receveur des contributions une chaise trois dindons
un ecclésiastique un furoncle
une guêpe
un rein flottant
une écurie de courses
un fils indigne deux frères dominicains trois sauterelles un strapontin
deux filles de joie un oncle Cyprien
une Mater dolorosa trois papas gâteau deux chèvres de Monsieur Seguin
un talon Louis XV
un fauteuil Louis XVI
un buffet Henri II deux buffets Henri III trois buffets Henri IV
un tiroir dépareillé
une pelote de ficelle deux épingles de sûreté un monsieur âgé
une Victoire de Samothrace un comptable deux aides-comptables
un homme du monde deux chirurgiens trois végétariens
un cannibale
une expédition coloniale un cheval entier une demi-pinte de bonsang une mouche tsé-tsé
un homard à l'américaine un jardin à la française
deux pommes à l'anglaise
un face-à-main un valet de pied un orphelin un poumon d'acier
un jour de gloire
une semaine de bonté
un mois de Marie
une année terrible
une minute de silence
une seconde d'inattention
et ...

cinq ou six ratons laveurs

un petit garçon qui entre à l'école en pleurant
un petit garçon qui sort de l'école en riant
une fourmi
deux pierres à briquet
dix-sept éléphants un juge d'instruction en vacances assis sur un pliant
un paysage avec beaucoup d'herbe verte dedans
une vache
un taureau
deux belles amours trois grandes orgues un veau marengo
un soleil d'Austerlitz
un siphon d'eau de Seltz
un vin blanc citron
un Petit Poucet un grand pardon un calvaire de pierre une échelle de corde
deux soeurs latines trois dimensions douze apôtres mille et une nuits
trente-deux positions six parties du monde cinq points cardinaux
dix ans de bons et loyaux services sept péchés capitaux deux doigts
de la main dix gouttes avant chaque repas trente jours de prison
dont quinze de cellule cinq minutes d'entr'acte

et ...

plusieurs ratons laveurs.

 

 

Inventaire à la Pataras 

 

Un maire

un premier adjoint

six adjoints ordinaires 

treize conseillers VEM

cinq conseillers Marsannay Demain

trois conseillers Changements et Progrès

 

un conseil municipal

 

une convention, dénoncée, payée,

reconduite, remboursée, dissimulée

des jardins, des vergers, leurs amoureux

des puits, une mare et leurs occupants

un bulldozer jaune, de la boue

un monsieur décoré de la légion d'honneur

un autre conseil municipal

 

des logements pour les pauvres

au compte-goutte s’il vous plait

la cloche a sonné, six classes désertées

l’école est fermée, l’enfant va pleurer

un million cinq cent mille ou deux millions, c’est à voir

  une mairie à rénover 

un million trois cents mille, l’éclairage

lampadaire, illuminations

bleu, blanc, rouge l’inauguration

une balayeuse,

des pannes, et la neige qui tombe

le gaz-oil, les autos neuves

qui brillent, fument et roulent

la mairie une chaudière rutilante

la route de Beaune à traverser

des lunettes pour la vitesse

et te faire payer 

la loi oui, mais pas pour tout ni pour tous

le stationnement les trottoirs

les trous partout

une piste cyclable de 200 mètres

des routes dévastées mais la sienne

sera refaite pas la tienne

un marché déserté

un crédit mutuel pour la gloriole

une victoire sur les autres,

un stade renommé

des monuments déplacés

les passages cloutés, les feuilles tombées

les herbes enlevées, la charte oubliée

les bancs publics retirés,

on ne peut plus s’embrasser

une église moussue

les arbres arrachés, d’autres replantés

la crise pour certains une commune riche,

sans chauffage le crève la faim 

ma volonté mes ambitions mon réseau

et…

 

cinq ou six conseils municipaux

 

la loi SRU, les logements en attente

le marché mercredi et samedi

les vieux les vignes le vin

la chorale, l’école de musique

pas trop fort le cirque

la tristesse et la neige

le feu dans la poubelle

le feu à la bibliothèque

je ne sais pas lire

un voile hypocrite

des lunettes pour que tu payes

le maire l'a dit

la danse, la gymnastique

pas touche au bonheur

pas content tu te casses

une arlésienne un écoquartier

l’environnement, le social

la richesse, la malbouffe, fais ton choix camarade

les dettes payées, les nouveaux emprunts, les ambassadeurs

le privé et le public le camouflet

la marseillaise du 14 juillet

donne son nom sinon

trente jours de prison dont

quinze de cellule cinq minutes d’ent’racte

 

et….

 

une commune qui pleure

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VOITURE

crédit mutuel

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chapeau2

trou3

 

 

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pat

 

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S urbain

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beaune

   
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