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L'obligation de subir nous donne le Droit de Savoir.

Jean Rostand

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Chers amis, chers lecteurs

Merci de votre compréhension....

 

 

4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 14:17

S2400068.jpg

 

Novembre 2003 : Convention avec la SEMAAD pour la réalisation d’un quartier en Saint Urbain.

 

Mars 2005 : création de la Zone d’Aménagement Concertée, « en Saint Urbain »

 

Mars 2006,  avenant n° 1 : Le montant de la rémunération de la SEMAAD est porté à 45 000 euros pour la phase pré-opérationnelle, (au lieu de 30 000 initialement prévus) et 45 000 euros d’indemnités de rupture de la convention, à titre de dédommagement, si celle-ci n’arrive pas à son terme.

 

Septembre 2007, avenant n° 2 : report des dates limites des phases de réalisation du quartier. 

 

Juillet 2008, avenant n° 3 :  Une somme forfaitaire de 800 euros HT, TVA en sus, par journée de mise à disposition du personnel de la SEMAAD pendant la phase de concertation et de redéfinition des bases et objectifs généraux de l’opération d’aménagement, qui sera menée par le comité de réflexion écoquartier sera imputable, trimestriellement au bilan de l’opération.

 

 

Décembre 2009, avenant n° 4 : Les contrats en cours, négociés pour l’opération précédente, seront résiliés du fait de la suppression de la ZAC en St Urbain.  Le coût des études de l’opération précédente sera pris en compte dans le bilan de la nouvelle opération, l’éco-quartier en Saint-Urbain. Les autres dispositions de la convention du 7 novembre 2003, et de ses avenants 1, 2 et 3 demeurent inchangées.  

 

Juin 2010 : rupture de la convention avec la SEMAAD. 

 

Décembre 2010 : signature d’une convention avec la SPLAAD, pour la construction d’un écoquartier en Saint urbain. Reprise par la SPLAAD de l’ensemble des sommes dues à la SEMAAD, sous la rubrique : « achat d’études »

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 14:20

CONVENTION AVEC LA SOCIETE PUBLIQUE LOCALE D’AMENAGEMENT DE L’AGGLOMERATION
DIJONNAISE (SPLAAD) POUR LA CESSION DES ETUDES PRE-OPERATIONNELLES POUR LA
REALISATION D’UN QUARTIER D’HABITAT SUR LE SITE EN SAINT URBAIN

 

La Commune de Marsannay-la-Côte s’est rendue acquéreur, au terme d’une convention d’aménagement arrivéeà échéance le 21 Juin 2010 dans le cadre d’une résiliation amiable acceptée par l’aménageur titulaire du contrat, des études pré-opérationnelles relatives à la réalisation d’un quartier d’habitat sur le site En Saint Urbain.


Lors de sa séance du 21 Juin 2010, le Conseil Municipal a approuvé la résiliation amiable de la Convention Publique d’Aménagement précédente et le bilan de clôture de l’opération. En application de l’article 30 de la CPA
« Propriété des documents », l’aménageur a donc remis l’ensemble des études désignées dans la conventionjointe à la Commune de Marsannay-la-Côte.


Une nouvelle convention dite « Convention de Prestations Intégrées » a été signée le 3 novembre 2010 avec laSPLAAD pour la réalisation d’un Eco-quartier.


Les premières études pouvant concourir à faciliter la nouvelle définition et la mise en oeuvre de cet éco-quartier, la Commune a souhaité les céder à la SPLAAD. Celle-ci a accepté de prendre en charge les coûts suivants dans
le bilan de la nouvelle opération pour un montant HT de 224 647,48 €, soit un montant TTC de 253 715,28 €.


La commission des Finances a émis un avis favorable à la majorité des membres présents.


En conséquence, il est demandé au Conseil Municipal :


- DE DONNER SON ACCORD SUR LES TERMES DE LA CONVENTION A INTERVENIR AVEC LA SPLAAD


POUR LA CESSION A CELLE-CI DES ETUDES PREOPERATIONNELLES POUR LA REALISATION D’UN QUARTIER D’HABITAT SUR LE SITE EN SAINT URBAIN,


- D’AUTORISER MONSIEUR LE MAIRE A SIGNER CE DOCUMENT.

 

Intervention de la liste « Changements et Progrès pour Marsannay »


 

Monsieur le Maire,

 

 

Le décompte de liquidation de la SEMAAD, fait apparaître des charges et des produits.

 

 

Dans les charges, on relève les rubriques :

 

Etudes générales (études d’impact et urbanistes)                                                                                130 985, 53 € TTC

 

Fonciers/frais d’acquisition

(demande de documents du cadastre)                                                                                                    1 048,31€ TTC

 

Frais financiers MT/CT           

(intérêts débiteurs suite à l’ouverture de crédit)                                                                                30 361,72 € TTC

 

Frais de gestion (selon CPA)

Dont 45 000 € de dédommagement et 18 000 € de rémunération de liquidation                                                                                                                                   90 085,58 € TTC

 

Frais annexes (reprographie et frais divers)                                                                                            1 241,47 € TTC

 

Le montant total est de                               253 722,61 € TTC


 

Dans les produits, on relève les rubriques :                              

 

Frais financiers : 5,10 euros TTC plus un écart de TVA de 2,33 TTC

 

Le montant total est de 7,33 euros TTC


 

La commune doit à la SEMAAD 253 722,61 euros – 7,33 euros = 253 715, 28 euros

 

 

Donc, monsieur le Maire vous avez vendu à la SPLAAD, non seulement les études et frais divers comptabilisés par la SEMAAD, mais également 30 361, 72 € d’intérêts débiteurs pour ouverture de crédit, 90 085,58 € TTC de frais de gestion, dont 45 000 € de dédommagement et 18 000 € de frais de liquidation.


 

En fait, le montant des études qui « nous appartiennent », ne s’élève qu’à 130 985,53 € TTC.


 

Le reste soit 122 729,75 €, inclus dans la convention SPLAAD, n’apparaitra pas dans les budgets 2010 ou 2011 et donc ne nécessitera pas d’explications.


 

Mais comme rien ne se perd, et que tout se paie un jour, on retrouvera l’ensemble de ces sommes, sous la rubrique « charges, achat d’études » dans le compte de liquidation de la SPLAAD, une fois l’écoquartier terminé.


Ainsi, ce transfert de charges, entre deux sociétés réunies dans un groupement d’intérêt économique qu’elles ont fondé ensemble, le GIE des Entreprises Publiques Locales d’Aménagement de l’Agglomération Dijonnaise (EPLAAD) n’est qu’une manipulation destinée à cacher aux habitants de la commune les erreurs et pertes financières qui s’accumulent depuis 2003 dans ce dossier.


Dans quatre ou cinq ans, après les prochaines municipales, qui se souviendra de ce tour de passe-passe ?


 

Mais en définitive ce seront bien les contribuables de Marsannay qui règleront la note ainsi différée.


 

Les élus du Groupe « Changements et Progrès pour Marsannay » voteront contre cette convention de cession « trop  accommodante ».

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 14:24

les roses

 

 

 

Mais c’est quoi, … l’ISO 14001 ?

 

C’est une norme qui est attribuée par l’Organisation internationale de normalisation, ISO (International Standard Organisation).

 

Pour l’environnement, il existe deux types d’approche : 

 

L’approche qualité du produit                        norme 9001

L’approche système de management            norme 14001

 

Le management environnemental désigne les méthodes de gestion qu’une entreprise met en oeuvre pour prendre en compte l’impact environnemental de ses activités. 

 

Pour acquérir la norme 14001, la démarche est engagée volontairement par l’entreprise ce qui présente plusieurs avantages.

 

- Le premier est une meilleure maîtrise des questions environnementales dans son fonctionnement, puisque la norme est un outil de gestion qui permet d’intégrer, au même titre que la qualité ou la sécurité, les questions environnementales au management global de l'entreprise, ainsi qu’une  obligation d’arriver en conformité avec la législation et les réglementations applicables.

 

- Le second, c’est que la norme donne, (même si ce point peut être critiqué) un outil pour communiquer aussi bien en interne qu'en externe.


Par contre, la norme génère des critiques sur certains points car elle ne mentionne pas d’obligation de développement durable.


En effet, si une entreprise est certifiée ISO 14001, cela ne signifie pas qu'elle ne pollue pas ou qu'elle respecte les réglementations environnementales, mais seulement qu'elle a fait le nécessaire pour tenter d'atteindre les objectifs qu'elle s'est elle-même fixés dans son plan d'action.


 En aucun cas, la norme n’a une obligation de performance et l’entreprise n’a pas obligation de communiquer ses résultats à l’extérieur.


 Pour aller plus loin, cliquez ici....

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28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 14:26

 

jeannineP0396.jpg

 

Délibération sur la

Convention de prestations intégrées portant convention d’aménagement entre la commune et la SPLAAD

 

 

Déclaration de la liste "

Marsannay Demain : la Qualité de vie"


 

Les mêmes causes produisant les mêmes effets ….

 

 

 

Nous voterons contre tout projet d’urbanisation du site «  En Saint Urbain » quel qu’il soit… ZAC ou Éco quartier, Semaad ou Splaad , c’est bonnet blanc ou blanc bonnet. !


 En effet, cette zone humide unique en  biodiversité , de jardins à caractère social, de maraîchage, de vignes, de friches est essentielle à notre environnement et à notre qualité de vie.


C’est encore un non-sens d’appeler Eco-quartier, un projet « unique » détruisant tout un tissu de biodiversité… car ne rêvons pas,  la protection affichée des jardins et des puits n’est qu’un leurre : que deviendront tous ces espaces environnés de béton ?


Par ce projet un nouveau quartier naîtra et sera éloigné des commerces et services, générera un trafic supplémentaire et nuisances, contrairement à ce qui est affirmé dans la convention, avec un surcoût de construction.


-          Autre contradiction : Avec l’existence de 8000 logements vides sur l’agglomération, plus des projets importants de construction (1500 logements et +) au sud de Dijon, est-il justifié de persévérer dans cette réalisation sur la commune de Marsannay-la-Côte ? Qui est unique dans sa spécificité de village viticole et touristique au sein du Grand Dijon.


D’ailleurs le site « Dijon-Côte de Nuits » vient d’être distingué et labellisé comme « Vignobles et Découvertes » par le ministère du Tourisme.

 

-          Sachons  préserver cette exception et anticiper l’inscription de Dijon, de la Côte Viticole et de ses terroirs  au patrimoine mondial de l’UNESCO en arrêtant définitivement ce projet et en réfléchissant tous ensemble à d’autres implantations possibles pour une meilleure répartition de l’habitat  sur la commune.

 

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 14:28

 

 

 

Délibération sur la

Convention de prestations intégrées portant convention d’aménagement entre la commune et la SPLAAD

 

 

Déclaration de la liste "Changements et Progrès pour Marsannay"

 

Le 7 novembre 2003, monsieur Laborier, Maire de Marsannay, a signé, avec la SEMAAD, Société d'Economie Mixte d'Aménagement de l'Agglomération Dijonnaise, une convention publique d’aménagement pour la réalisation d’un quartier en Saint-Urbain.

 

Après de nombreux reports et avenants, dont nous ne reprendrons pas le détail, vous nous avez demandé, en Conseil municipal  du 14 décembre 2009, d’accepter la signature d’un avenant n° 4 au terme duquel  il était proposé de reprendre l’ensemble des études permettant d’aboutir à un dossier de création de ZAC pour le 31 Décembre 2010 au plus tard.

 

Puis lors du conseil municipal du 21 juin 2010, vous avez, vous et votre majorité, décidé de mette fin à cette convention en précisant que le compte de liquidation définitif faisait apparaitre un montant de 253 715, 28 euros TTC, comptes arrêtés au 11 juin 2010, à régler à la SEMAAD, par la commune dans les 6 mois maximum.

 

Durant l’été, le 25 juillet 2010, dans un entretien accordé au quotidien le Bien Public, vous avez déclaré que le compte de liquidation pourrait s’élever à 426 000 euros, voire plus. Cette information n’a jamais été démentie dans ce quotidien.

 

Lors du Conseil municipal du 13 septembre 2010, nous vous avons posé la question de savoir, quelle somme devrait régler la commune à la SEMAAD consécutivement à la résiliation de la convention pour Saint-Urbain et vous nous avez répondu que vous ne pouviez pas régler une somme différente à celle votée par l’assemblée délibérante de la commune, soit 253 715,28 euros TTC.

 

Dans votre édito du dernier bulletin municipal d’octobre 2010, vous plaisantiez sur les « montants extravagants qui circulaient, colportés par une rumeur qui ne saurait cacher ses origine », mais dont vous êtes, vous-même, à l’origine par le biais de votre entretien du Bien Public, et vous annonciez un nouveau « coût exact de résiliation » de 203 125,02 euros.

 

Et aujourd’hui, vous nous demandez de signer une nouvelle convention d’aménagement avec la SPLADD, Société Publique Locale d’Aménagement de l’Agglomération Dijonnaise qui est, nous le rappelons la sœur jumelle de la SEMAAD, avec, à leurs têtes, les mêmes dirigeants.

 

Vous avez, il est vrai, la majorité dans cette assemblée. Le pouvoir, qui vous appartient, vous a été délégué par les citoyens de cette commune qui n’admettront pas que vous décidiez seul, sans le contrôle de l’opposition qu’ils ont également élue pour tenir ce rôle.

 

Ils n’admettront pas qu’une partie de la population soit tenue à l’écart des décisions qui concernent leur avenir.

 

En effet, le comité éco-quartier que vous présidiez et qui pouvait se révéler une réelle avancée pour ce projet, s’est, face à votre intransigeance, disloqué avant la fin de ses travaux, tous les participants -hors ceux de Vivre Ensemble à Marsannay » et deux personnes de la société civile que vous aviez désignées- l’ayant quitté avant son terme.

 

Par définition, Monsieur le Maire, un éco-quartier est un quartier voulu, accepté, pensé par les riverains et par ses habitants. Par définition, en Saint Urbain, vous allez donc construire un quartier, mais non un éco-quartier.

 

Vous avez décidé de piloter seul ce projet en Saint-Urbain, nous vous laisserons décider seul de la suite à donner et nous vous laisserons assumer seul vos responsabilités devant les électeurs de Marsannay, à qui vous devrez rendre des comptes le moment venu.

 

Les élus de la liste « Changements et Progrès pour Marsannay » s’abstiendront sur ce dossier.

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 14:30

Image2.jpg

 

Y en a qui disent :

" Le maire, s'il l'a dit, il le fera construire par PROMOGIM, son Saint-Urbain"


Y en a qui pensent :

" Le maire il a dit  PROMOGIM c'est bien, mais ça peut-être un autre promoteur"


Y en a qui disent :

" Le maire il aura pas le temps de le faire, son Saint-Urbain..."


Y en a qui pensent :

" Le maire cela lui coûterait trop cher de ne pas renégocier avec la SEMAAD : 420 000 euros et peut-être plus..."


Y en a qui disent :

" Le maire, il va re-signer une autre convention avec la SEMAAD ou la SPLA puisque c'est les mêmes qu'à la SEMAAD, et ça ne lui coûtera que 203 125,02 euros"


Y en a qui pensent  :

" le maire il ne le fera pas, il va abandonner..."

 

Y en a qui chantent :

"Demain n'est jamais bien loin, laissons l'avenir venir...."

 

Y en qui pleurent :

"Mais, dans cette histoire où est la transparence ?  où est l'écoute des attentes des citoyens ? où est le vivre ensemble à Marsannay? où est la concertation ? où est même l'information ?

 

Où en est la démocratie ?"

 

 

Et Pat y dit :


"C'est sûr, dans cette histoire, il a des opposants.


Mais en tout cas, le Maire, il ne se fiche pas que... de la tête de ses conseillers d'opposition, il se fiche aussi ...de la nôtre...

Et pas qu'un peu...


C'est-y une façon responsable de mener une commune cela ?

Il se prend pour qui ?

Pour monsieur

"Je sais tout ce que veut la population et je décide seul" ?

 

 

"Ce qui est sûr, c'est que si mon gosse faisait ce qu'il veut par derrière, sans rien me dire, et avec mes sous encore, je lui ficherais une bonne punition... mais c'est mon gosse..."

 

Bon, c'est pas perdu.....

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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 14:32

2) 

2° rencontres de l'habitat du 22 octobre 2009,

  Allocation-Témoignage de Monsieur le Maire de

Marsannay-la-Côte

   

"Vous connaissez Marsannay-la-Côte.

Une de ses particularités hormis le vignoble, la forêt et bien d'autre c'est le peu de foncier. Donc l'équipe municipale précédente dont je faisais partie, avait réfléchi sur un projet immobilier de l'ordre de 120 logements sur 10 ha qui comprenait du locatif, de l'individuel et du collectif. Au fur et à mesure des réflexions, des réunions publiques, ce projet a évolué pour arriver sur un projet de 120 logements sur 6 ha. Les élections municipales arrivant et me présentant bien sûr, à la tête de cette commune, et après réflexion nous avons avec l'équipe qui m'entourait, proposé à la population de réfléchir à nouveau sur ce projet, de le remettre en cause, et de travailler sur un écoquartier d'une manière un peu différente."

 

"Comment êtes-vous passé d'un projet de quartier à un projet d'éco-quartier ?"

 

"La première chose que j'ai proposé, dès mon élection,  au conseil municipal, a été de mettre dans un tiroir de mon bureau le projet initial, et de réfléchir sur un écoquartier. Et  de mettre en place un comité consultatif, car nous sommes une commune de plus de 3 500 habitants donc il était un peu compliqué de créer un groupe de travail. Ce comité consultatif a été mis en place en juillet de l'année dernière et regroupait des élus des trois listes participant au conseil municipal, les associations locales de défense puisqu'il en existait, de défense des vergers, de l'habitat, les trois Présidents du monde viticole, et j'ai demandé également deux personnes de la société civile qui habitent Marsannay, un qui est Vice-Président de Terra Ethica dont je salue le Président qui nous a accompagné, une personne de la DDE qui s'occupe de développement durable, et enfin un représentant de notre aménageur, la SEMAAD.


L'objectif de ce comité consultatif, assez simple, était de sortir un cahier des charges correspondant à un éco-quartier avec toutes les problématiques inter-générationnelles..., pour le mois de juin 2009. Ce comité a travaillé à raison d'une réunion par mois et je peux dire aujourd'hui que fin juin 2009, le cahier des charges, d'une trentaine de pages est suffisamment prêt pour que les équipes puissent travailler.


L'objectif n'est plus de 120 logements, mais de 150 à 200 logements, sur une surface entre 2,5 ha et 3 ha et ce n'est que du collectif."

 

"Quels outils avez-vous utilisés et, puisque vous nous avez dit que c'est un projet précurseur, en quoi est-ce un projet précurseur sur le terrain ?"

 

"Nous souhaitons que ce soit un projet précurseur. Vous l'avez vu, les outils sont un comité consultatif, un cahier des charges qui répond à la totalité des problématiques du développement durable mais un peu plus. Tout à l'heure nous avons parlé de l'inter-générationnel, de l'accessiblité aux personnes qui ont un handicap, il y a aussi le volet économique qu'il faut prendre en compte,

 

Toutes ces problématiques ont été prises en compte et maintenant nous souhaitons, avec l'aménageur que nous allons rencontrer prochainement, passer à la phase opérationnelle et lancer un concours d'architecture  avec implantation environnementale très forte pour avoir un projet identifié et identifiable au sud de l'agglomération dijonnaise."

 

"Merci beaucoup".


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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 14:33

semmad2

 

                   img027 article du Bien Public du 25 juillet 2010    (cliquez sur ce lien...)

 

 

« Faudra qu’on m’explique qu’il me dit le Pat, faudra qu’on m’explique pourquoi le maire il a dit au conseil municipal du 21 juin qu’on devait à la SEMAAD 253 715,18 euros pour les 7 années qu’elle a travaillé sur Saint-Urbain

- je mens pas, consulte le procès-verbal ! - et que sur cet article du bien public du 25 juillet, il dit qu’on doit payer 426 000 euros et encore, « pour le moment » qu’il précise !!!! parce que ça peut encore augmenter ?????????

 

Mais où va-t-on ? ça va continuer longtemps ?

On croirait qu’on roule sur l’or dans cette commune ! Que tout est en état. Que les routes n’ont pas besoin d’être TOUTES refaites…

 

On pourrait s’en payer des logements sociaux avec ces sommes-là…. »

 

Et le 28 juillet, toujours sur le Bien Public, il nous dit : Ecoles, maison de Marsannay et voierie remises à neuf.

 

Comme si c’était pas de l’entretien courant que toute mairie doit faire…

 

Deux, trois bricoles pour les écoles, et pour la maison de Marsannay des travaux qui rapporteront de toute façon, au prix où elle est louée !

 

Et deux trois bouts de route à droite et à gauche comme d’habitude !

 

Voierie remise à neuf, c’est un langage imagé je pense ! car la voierie, c’est l’ensemble des voies, des places, des espaces verts… et là on en est loin !!!!

 

 A oui, j’oubliais, la rue des Ecoles… l’est pas bien grande celle-là… et toujours vers la mairie !!!

 

D’abord, s’il nous raconte tout ça le 28, faut pas se leurrer, c’est pour nous faire passer la pilule amère du 25 avec ses 426 000 euros fichus en l’air !

 

 

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 14:05

écoquartier2


 

A la place de l’ancien, prévu sur 6,6 ha, un nouveau projet est envisagé en Saint Urbain qui prévoit notamment une réduction du périmètre de la ZAC  (qui n’occuperait plus qu’une surface de 2 à 3 ha) et une modification substantielle du programme des constructions. (écoquartier).

 

Dans ces conditions, l’étude effectuée précédemment par la SEMAAD  (Société Economique Mixte d'aménagement de l'Agglomération Dijonnaise) est caduque et il convenait donc de signer un avenant n° 4 à la convention du 27 octobre 2003.

 

Par cet avenant, la commune de Marsannay-la-Côte et la SEMAAD ont décidé :

 

De mettre fin aux différents contrats en cours en ce qui concerne l’ancienne ZAC en Saint Urbain.

 

D’établir un récapitulatif des dépenses engagées au titre de l’opération précédente et les reporter sur les dépenses de la nouvelle opération de ZAC d’éco-quartier en saint Urbain.

 

De reprendre l’ensemble des études permettant d’aboutir à un dossier de création de ZAC pour le 31 décembre 2010 au plus tard.

 

 

 

Or , un recours gracieux a été déposé par l’Association de Défense de Marsannay-la-Côte et le Syndicat Viticole, auprès du Tribunal Administratif de Dijon, à l’encontre de la délibération adoptée le 14 décembre 2009 par le Conseil Municipal approuvant l’avenant n° 4 à la convention publique d’aménagement du 7 novembre 2003.

 

Encore une fois, le projet est donc remis aux calendes grecques….

 

Il faut préciser que la faute en incombe essentiellement à Monsieur le Maire, dont l’attitude, en comité éco-quartier a choqué, a bloqué, même les participants qui soutenaient ce dossier….

 

Par son attitude trop directive, par son refus du dialogue et de la concertation, par sa façon d’imposer sa volonté, par son arrogance, Monsieur le Maire a fortement contribué à couper les ponts avec les organisations concernées, membres du comité écoquartier.

 

Rappelons également les diverses signatures, engageant les participants à ces réunions, - tu signes et tu te tais ou tu te casses -  exigées pour avoir le privilège de faire partie d’un comité dans lequel de toute manière ils étaient minoritaires !!!

 

 Avait-on même, un jour ou l’autre, eu l’intention d’écouter, d’essayer de trouver une solution acceptable par tous ? On peut en douter… alors que l’effort de participation des organisations concernées, qui avaient violemment réagi au premier projet, mais qui avaient décidé d’être présentes dès la première réunion de cette réflexion lancée par le nouveau maire, était patent…

 

En attendant, le résultat est là : un projet qui devient de plus en plus irréalisable, des sommes dues à la SEMAAD et que même Monsieur le Maire dit ne pouvoir évaluer, et peut-être, à la clé, une indemnité de rupture de contrat de 45 000 euros, ainsi que des indemnités que cet organisme, qui est certes une Société d’Economie Mixte mais pas une société de bienfaisance sera en droit de demander.

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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 14:02

S2400072.jpg

Lors du dernier Conseil municipal du 14 décembre 2009, monsieur le maire de Marsannay et les membres de sa liste "Vivre Ensemble à Marsannay" ont fait procéder à la suppression de la ZAC en Saint  Urbain et à la création d'une commission ZAC éco-quartier restreinte et d'une commission ZAC éco-quartier élargie à l'ensemble des membres  du conseil municipal.


Le même maire a précisé, lors de la discussion qui précédait le vote "que le cahier des Charges de cette ZAC serait présenté lors d'une prochaine commission ZAC Ecoquartier restreinte et élargie."



Sur le bulletin municipal n° 168 de janvier 2010 on peut lire page 8, sous le titre Réunion publique Eco-quartier, Pour la réussite de votre parcours résidentiel " :

"Le maire a évoqué le calendrier de ce projet : février 2010, consultation ouverte à tous les professionnels (architectes, paysagistes, urbanistes...), Septembre 2010, choix du projet, Décembre 2010 : création de la nouvelle ZAC, Mi 2013, première commercialisation..."

Mais, depuis le 17 décembre 2009, (date de cette réunion publique), et la parution de cet article, personne n'a plus entendu parler de ce projet...

Les commissions n'ont pas été réunies, le cahier des charges définitif  n'a donc pas été communiqué aux conseillers municipaux de l'opposition...


PAR AILLEURS, SI LE CALENDRIER ANNONCE ETAIT RESPECTE,


la consultation aurait été lancée en février 2010.....

Or, si l'on consulte le site de la SEMAAD,

   http://www.semaad.com/62-appels-d-offres   

(copier ce lien dans votre navigateur)

on peut constater que des avis d'appels à la conccurence ont été lancés depuis le début 2010 pour Chenôve, la Fontaine d'Ouche, Quétigny, Genlis, la région, Marcilly-sur-Tille...

mais pas pour Marsannay-la-Côte.....



Ce silence de mort ne semble pas être un bon présage pour la poursuite harmonieuse d'une opération qui reste l'apanage de la "vraie minorité municipale" élue majoritaire avec 43,71 % des voix des votants.



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