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L'obligation de subir nous donne le Droit de Savoir.

Jean Rostand

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29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 08:00

C'était dans les années 1980...

 

bus pt-10

" Les demandes des habitants en vue de l'amélioration des transports urbains se font de plus en plus pressantes."

"Ce problème a été particulièrelment évoqué parmi les réponses au questionnaire sur le quartier de la Champagne-Haute"

"C'est pourquoi le Conseil Municipal a décidé d'intervenir auprès de la RTCO et de mettre sur pied une expérience limitée à 1 an, mais reconductible si elle s'avère positive."

Cliquez ici 1

Le Marsannay Informations évoque alors les fréquences, les aspects financiers, la tarification, les conseils, le bilan...

Aucun aspect de la négociation n'est flou ou non évoqué... même les aspects financiers.

A cette époque, on prenait les habitants de Marsannay pour des gens responsables et pas comme des gamins à qui il faut tout cacher....

Vous voulez tel service, cela vous coûtera tant.

On essaie pendant un an.

Et si cela ne marche pas l'expérience sera interrompue...

Cliquez ici 2

Le plan était mis à la disposition de tous les usagers ainsi que les horaires.

Cliquez ici 3

Même si le bus ne passait que toutes les heures, on se présentait devant l'arrêt le plus proche 5 mn avant l'heure prévue et on était sûr d'arriver à temps à son rendez-vous car lorsqu'il n'y a pas de correspondances, il n'y a pas d'attente.

La vie était plus simple, on n'avait pas à stresser ni à courir !

Cliquez ici 4

Le RTCO venant de Couchey passait par la rue de Mazy, la route des Crus  et descendait vers Dijon

La "navette" passait par le Centre commercial de la Champagne-Haute, remontait l'avenue Marguerite de Salins, la rue de la Maladière et s'arrêtait à Charon comme aujourd'hui !

Ainsi donc, chacun était desservi au plus près de chez lui, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui  et savait combien cela coûtait à la commune donc au contribuable !

 

Et aujourd'hui ?

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